Au cours de la semaine écoulée, La Réserve fédérale (FED) a tenu sa réunion du Comité fédéral de l'open market (FOMC) de juillet et a décidé de maintenir le taux des fonds fédéraux entre 4,25 % et 4,5 %. Le président de la FED, Jerome Powell, a souligné qu'il existe encore une incertitude quant à l'impact des tarifs sur l'inflation et a noté que ces effets pourraient prendre du temps à se manifester pleinement. Bien qu'il n'ait pas insinué une baisse immédiate des taux en septembre, les attentes du marché concernant une baisse des taux lors de la prochaine réunion ont augmenté. Actuellement, environ 80 % des participants au marché s'attendent à ce que la FED abaisse les taux de 25 points de base lors de sa réunion de septembre. Pendant ce temps, le gouvernement américain a réaffirmé sa politique tarifaire avant la date limite commerciale du 1er août et a conclu des accords avec plusieurs partenaires commerciaux, y compris le Royaume-Uni, le Japon et l'Union européenne. Cependant, dans d'autres cas, les États-Unis ont mis en œuvre de nouveaux tarifs, dont beaucoup atteignent 15 % ou plus. Selon les données du laboratoire budgétaire de Yale, le taux moyen des tarifs aux États-Unis pourrait être passé d'environ 2 % à environ 18 %, ce qui pourrait exercer une pression à la hausse sur les prix des biens et, avec le temps, freiner les dépenses des consommateurs. Comme je l'ai souvent souligné, je m'attends à ce que cela se reflète dans les données d'inflation américaines du premier ou du deuxième trimestre de 2026. En ce qui concerne le marché du travail, les dernières données montrent des signes de ralentissement. L'économie américaine n'a ajouté que 73 000 emplois non agricoles, bien en deçà des 104 000 prévus, et les hausses d'emploi des deux mois précédents ont également été considérablement révisées à la baisse. De plus, le taux de chômage est également passé de 4,1 % à 4,2 %.
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Au cours de la semaine écoulée, La Réserve fédérale (FED) a tenu sa réunion du Comité fédéral de l'open market (FOMC) de juillet et a décidé de maintenir le taux des fonds fédéraux entre 4,25 % et 4,5 %. Le président de la FED, Jerome Powell, a souligné qu'il existe encore une incertitude quant à l'impact des tarifs sur l'inflation et a noté que ces effets pourraient prendre du temps à se manifester pleinement. Bien qu'il n'ait pas insinué une baisse immédiate des taux en septembre, les attentes du marché concernant une baisse des taux lors de la prochaine réunion ont augmenté. Actuellement, environ 80 % des participants au marché s'attendent à ce que la FED abaisse les taux de 25 points de base lors de sa réunion de septembre. Pendant ce temps, le gouvernement américain a réaffirmé sa politique tarifaire avant la date limite commerciale du 1er août et a conclu des accords avec plusieurs partenaires commerciaux, y compris le Royaume-Uni, le Japon et l'Union européenne. Cependant, dans d'autres cas, les États-Unis ont mis en œuvre de nouveaux tarifs, dont beaucoup atteignent 15 % ou plus. Selon les données du laboratoire budgétaire de Yale, le taux moyen des tarifs aux États-Unis pourrait être passé d'environ 2 % à environ 18 %, ce qui pourrait exercer une pression à la hausse sur les prix des biens et, avec le temps, freiner les dépenses des consommateurs. Comme je l'ai souvent souligné, je m'attends à ce que cela se reflète dans les données d'inflation américaines du premier ou du deuxième trimestre de 2026. En ce qui concerne le marché du travail, les dernières données montrent des signes de ralentissement. L'économie américaine n'a ajouté que 73 000 emplois non agricoles, bien en deçà des 104 000 prévus, et les hausses d'emploi des deux mois précédents ont également été considérablement révisées à la baisse. De plus, le taux de chômage est également passé de 4,1 % à 4,2 %.